Something Else

Looking down on empty streets and all she can see Are the dreams all made solid, The dreams made real All of the buildings, All of the cars Were once just a dream In somebody's head She pictures the broken glass She pictures the steam She pictures a soul...

mercredi, mai 19, 2010

Somewhere, somehow

On ne sait jamais quand les souvenirs vous ratrappent et vous prennent à la gorge comme un noeud trop serré. On se dit hommes libres, et pourtant on traîne tous derrière nous les chaînes du passé, qu'on le veuille ou non. On n'oublie pas. On croit s'endurçir, mais pris au dépourvu on est aussi sensibles et fragiles que des poussins nouveaux-nés.



If the moment ever comes... But the moment never comes


Muse-Endlessly

mardi, juillet 14, 2009

Shut up and listen/watch/read

#Feist - My moon my man (Boys Noize Remix)
#Florence and the machine - Drumming song
#Showstar - Mad on your sister


*B comme Béjart
*Color Purple
*The Reader


°Stieg Larsson - La reine dans le palais des courants d'air (Millénium 3)
°Rachida Lamrabet - Pays de femmes (Vrouwland)
°Jean Teulé - Le magasin des suicides

Petits hommes*

A côtoyer tous ces gamins tous les jours, et avec un anniversaire qui n'a rien d'une fête qui vient de passer, je ne peux pas m'empêcher de penser à toi. Tout petit bout d'homme qui n'a même pas eu le temps de jeter un oeil sur le monde. Pas le temps de respirer un peu de cet air qui nous tiens en vie, pas le temps de naître mais pourtant bien d'être. Petit bout d'homme qui porterait un peu de mon sang, par l'intermédiaire de celui que je partage avec Elle. Je sais bien qu'elle y pense, elle aussi, bien plus que moi d'ailleurs. Il aurait pu se trouver cette année parmis les plus jeunes gamins dans mon groupe. Ca me ramène aussi à penser à un autre petit bout d'homme qui a suivi le même chemin. Décidément, il n'y a que les filles pour ne pas se perdre en route. Un frêre et un filleul dont je me surprends parfois à imaginer les yeux, le rire, et les traits de famille. Il n'existe guère de sensation plus étrange que le manque de quelque chose qu'on n'a pas vécu, pas touché, et dont on peut impossiblement déterminer 'ce qui aurait pu être'. Ce qui aurait pu être... Une pensée qui m'envahit souvent, sous des formes et sujets bien différents. Souvent, ces pensées bien fantaisistes se terminent avec un sourire quelque peu triste, me rappellant que ce ne sont que des bouts de rêve mi-éveillé.


# Coldplay - What if

lundi, juillet 06, 2009

I'm sorry, I do(n't) believe in fairytales

# Ca sort de la bouche des enfants

J'ai commencé à travailler aujourd'hui. Hormis la petite misère des crottes de nez, chaussures à lacets quadruplement noués, boîtes à tartines nécéscitant un mode d'emploi détaillé, les vêtements perdus à la piscine & autres pipicacatartine, c'est aussi une joie de retrouver leurs propos hilarants. Ah ahh si les parents savaient, ils n'ôseraient même plus venir les rechercher!
Exemple piscine: y en a une qui touche ma jambe, me dit qu'elle est toute douce, occupée à mettre des bonnets, je ne réponds pas, alors elle poursuit avec une description détaillée des jambes poilues et surchargées de sa mère. Charmant^^. Ou alors:
-Il est où ton sac?
-Au cimetière
-Pardon? Tu as fait quoi avec ton sac?
-Ben je l'ai laissé au cimetière
-Au vestiaire?
-Oui
-Ahh, oké
Sinon ca reste fatiguant d'un point de vue mangetatartineavanttesbonbons et toutlemondevafairepipimaintenantmêmesiondoitpasyaller, ou encore ne fus ce que onsetaitetonécoutebien! Mais ils sont mignons quand même, et puis ils ont à peine pleuré après maman aujourd'hui, et on n'a même pas eu de petits accidents (en espérant que ca ne change pas). 39 petits monstres dont le plus gros obstacle du moment est d'apprendre à faire du vélo à 2 roues et de savoir mettre ses chaussures à l'endroit.

# Et vas-y que je te coupe tout

La cicatrice sur mon genou n'est pas encore partie (et ne partira probablement pas. DAMMIT), les fils sont à peine sortis de mon pied (pour y laisser une cicatrice plus petite mais nettement plus degeu aussi), et voilà que mon opération du nez commence à presser, qu'une dent de sagesse commence à percer et à perturber toutes les autres, et que ma grande amande se mette à faire du sien. (Oui, parce que j'ai une toute petite amande à gauche et une toute grosse qui occupe tout plein trop de place à droite. Allez savoir.) Ca fait 3 opérations douloureuses en vue, et qui demandent un certain temps de récupération. Je pense aux joues jaunes/mauves (4 sagesses en même temps), aux tubes & plastiques dans le nez et l'amputation soudaine de mon amande qui fera bien gonfler les alentours. Etant donné que mes vacances sont full tout plein de petits morveux adorables, de fêtes de Gand, 10 Days Off, Reims, Espagne, weekend à la mer, réunions prési et d'un peu de glande au calme dans l'ombre de la maison parentale, et mon année pleine de stages et de fêtes que j'organiserai en grande partie moi même l'an prochain (élue à la quasi unanimité parmi 5 candidats. Ain't that nice), je ne vois vraiment pas quand caser ca. J'ai bien pensé une fois tout haut à faire faire le tout en une fois, mais le père, pourtant pas perturbé par un risque ou deux à prendre, a répondu que c'était autant leur laisser ma tête quelques jours puis aller la récuperer. ARGH.

# Le nez dans les bouquins

Depuis mes vacances plus ou moins tranquiles, après la grosse déchéance post-examinale, je suis plongée dans la trilogie Millénium de Stieg Larsson. Après avoir dévoré 'Les hommes qui n'aimaient pas les femmes' dans quelques trains à prendre et une nuit entière parce que je ne pouvais pas lâcher en plein dénouement, j'ai enchaîné de suite avec 'La fille qui rêvait d'un bidon d'essence et d'une boîte d'allumettes". Je suis au milieu de ce deuxième tome, et je me ferai un plaisir de continuer sur ma lancée en terminant par 'La Reine dans le palais des courants d'air'. Une série de polars vachement bien foutus et extrêmement entraînants. Des tomes qui font chacun un peu plus de 400 pages, mais chaque mot a sa place. Sans oublier André-Marcel Adamek avec ses Contes tirés du vin bleu qui sont tout aussi géniaux dans un tout autre genre.


# Love Angel Music Baby

Nope, pas Gwen Stefani. Je loupe Britney en VIP à Anvers à cause d'un boulot de vacances. Sucks big time, mais j'avais qu'à réfléchir un peu plus en signant le contrat. J'essaye encore d'inventer des stratagèmes insensés pour y aller quand même, mais à moins que mère me laisse la voiture dans un moment de folie passagère, les chances se ressèrent toutes les minutes. Encore 2 jours pour trouver la solution miracle. C'est pas que je sois une tellement grande fan de Britney (même si ses dernieres chansons ne sont absolument pas mauvaises), mais c'est tout simplement une sorte de mythe fantastique. Je viens de voir que je peux reprendre mon train à 5h24 à Gand. Bingo. Reste à voir si mon ticket est toujours on hold.

Sinon, je me rappelle du concert de Charlie Winston à chaque fois que j'ouvre mon bouquin, puisqu'il me sert de marque-page. Un type tout à fait remarquable avec une musique énorme. Et nettement meilleur encore live qu'enregistré. Ou serait-ce le charme irrésistible de sa petite tête brittanique chapeautée?

# Ben&Jerry's, pieds sur le siège de devant, coca light clandestinement sorti du sac & dindes bruyantes

J'ai été voir The Hangover, et rien qu'à y repenser mes (pseudo)abdos se resserent d'hilarité. Bon, c'est pas une affaire historique, ca n'apporte même pas l'ombre d'une morale, y'a un happy end et ca regorge d'éléments superflus, mais ca n'exclut pas que je ne me suis plus autant marré au cinéma depuis bien un moment. L'accumulation des situations est énorme mais ne dépasse aucune limite agacante, au contraire.


::Everything has to have a moral? Who am I, Mother Goose?::

mercredi, juin 10, 2009

Wondering what would happen

Je passe le plus clair de mon temps à imaginer ce que je ferai après. 'Après', c'est l'océan de temps, déjà bien rempli de fêtes, de festivals, de boulot, de musique, de vacances,.. qui m'attend mercredi 17 juin, à partir de midi. Remarque, il faut que je survive à mon examen pratique de natation, ce qui risque de ne pas être évident si je continue à dormir si peu d'heures par nuit. J'ai comme une idée qu'après la partie plongée, j'aurai bien du mal à remonter (ma foi, ca fait quelqu'un à sauver, ca peut se gérer dans le déroulement de l'examen^^). J'en suis à un point où je suis tellement fatiguée que la fatigue m'est passée. J'ai une drôle de tendance de devenir hyperactive quand je suis extrêmement fatiguée, j'espère que ca durera encore quelques jours. Demain examen de musique. Et d'une façon ou d'une autre, j'arrive à jouer du Vivaldi et même du Lady Gaga sur ma flûte, mais Frêre Jacques et ses compagnons, j'ai vraiment du mal!

#Benassi Bros Ft. Sandy - Illusion
#Benny Benassi - Let it be
#Lady Gaga vs. Kat Deluna - Dance Up (mashup)
#Sophie Ellis Bextor - Heartbreak make me a dancer
#Hot Chip - Ready for the floor
#Pryda - Miami to Atlanta
#Tiga & Zyntherius - Sunglasses at night
#Robyn - Konichiwa Bitches
#Delirium/Sarah McLachlan - Silence
# K - Waveshaper
<3

vendredi, mai 01, 2009

Where is the damn emergency brake?*

Mes doigts filent sur le piano, sans s'occuper du moindre sens ou rythme. Je commence un morceau de Bach que je termine de façon un peu fantaisiste. Je regarde mes papillons sur le mur, la petite guitare, une raquette de badminton qui n'a rien à faire là, la collection de bouteilles de champagne qui ont marqué des moments spéciaux. Et mes doigts filent. Je me rends trop compte que ces changements, ces évolutions sont irréversibles. Mes yeux s'arretent sur une paire d'all stars à fleurs oranges que je n'ai jamais voulue jeter. Je décompte les années, je me souviens de cet été. Je n'aime pas grandir. Evidemment, j'aime bien mon indépendance, mais tout ce temps qui me file entre les doigts, toutes ces choses qui changent sans arrêt, ca finit toujours par me faire peur. Surtout quand tout s'accelère pour former un tourbillon infernal comme en ce moment. Je ne demande pas grand chose. Juste que le monde s'arrête un instant, juste un instant, que je puisse reprendre mon souffle et repartir. Que tout soit silence et vide, que les gens soient glacés sur place, que les montres se taisent. Quand ca me panique, je repense souvent à cette nuit à la mer. Seule éveillée dans le grand appartement vitré, avec le spectacle de la mer et des petites lumières qui s'offrait rien qu'à moi. Tout avait l'air si paisible que j'ai retrouvé un calme profond, un moment de paix. J'aurais bien envie de m'enfuir là-bas pour profiter de tout ce calme, faire un peu l'autruche, mais au final il faudra bien retourner dans un monde de gens pressés et de temps qui s'en fout. Il est inutile de trop réfléchir là-dessus, puisque ''c'est ainsi'', et pourtant ca m'occupe beaucoup. Est-ce que le temps serait comme l'arbre, qui pourrait ne pas exister si l'on n'est pas là pour le voir?


# Radiohead - Nude
# Radiohead - Reckoner
# Radiohead - Street Spirit
# Radiohead - Where I end and You begin

mercredi, avril 29, 2009

'Cause we have had enough..


Les prépa stages, les crises d'allergie inattendues, les beaucoup-trop-plein de cours de 8h15 à 17h45, la météo qui sprinte entre bleu idyllique et gris orageux, les stages qui vont commencer, les examens qui suivront sans blocus, tous ces cours que je devrais ouvrir, lire, résumer, comprendre sans avoir ne fus-ce que le temps de les regarder, les 1001 travaux à rendre, l'organisation exécrable de l'école, une grille d'examens sans la moindre bouffée d'air, les 22375 marches à monter avant d'arriver en cours, la désagréable caissière du Delhaize, le bordel qui traîne dans la cuisine, la panoplie de pillules, crèmes, sirops et gouttes pour tous les jours, les visites de tous ces médecins bien trop régulièrement, les fausses notes qui sortent du violon de mon cokotteur, mon côté maladroit hilarant mais fatiguant de tous les jours, les petits cailloux devant la porte qui glissent et abîment les chaussures à talons, la chaîne de mon vélo qui se bloque à 5 km de chez moi, une connection internet pour le moins foireuse, le temps qui continue à courir partout sans rien entendre ni attendre, ...

Tout ca, c'est des choses que je gère généralement avec un sourire. Mais le tout ensemble, au même moment, ca fait beaucoup. Alors il suffit d'un petit sms de pactotille pour me faire tomber de mon fil. A des moments comme ca, je donnerais tout pour être un chat, ou même une plante. Un coquelicot tiens, tant qu'à faire dans les ressemblances. Avec une petite tête qui bouge au gré du vent, les pieds quand même dans la terre, de nature un peu toxique et hallucinante, et qui fâne dès qu'on a l'orgueil de la cueillir.


# Papa Roach - Had enough

# Lenny Kravitz - Calling all angels

# Ellioth Smith - Twilight

dimanche, avril 26, 2009

Allergique

J'ai passé une semaine pour le moins étrange. Certes, ca fait des années que je suis une créature plutôt faible, médicalement parlant du moins. Mais là, je bats mes propres records, peu glorieux, mais soit.

Au départ je tombe, soutenue par une ivresse légère, sur mon genou. Je me dis que ca ne fait pas si mal, je nettoye un peu et je désinfecte quelques heures plus tard, en rentrant. Sur ces quelques heures de train, l'affaire a pris une couleur et forme peu prometteuses, et le genou ne veut plus plier, soit, on désinfecte et ca ira mieux demain. C'est ce que je me dis pendant deux jours, en allant bosser chez les tout tout petits toute la journée, ayant donc à m'asseoir sans cesse. Jeudi, direction medecin qui y trouve un joli staphyllocoque dont je suis apparemment porteuse depuis des années (joiiie, la dernière fois c'était tellement fun à soigner 8-)). Soit, on met des antibiotiques et puis ca devrait aller! Ca va en effet mieux, à part le trou qui reste vraiment -il n'y a pas de moyen pour dire ca d'une façon plus suggestive, désolé- purullent, profond et douloureux. Alors mardi dernier, alarmée par les rumeurs de staphyllocoques-qui-bouffent-les-gens de ma soeur, je retourne chez le medecin, qui m'envoie en effet faire des tests pour voir si la bestiole mortelle s'y trouve pas. Elle s'y trouve pas. Je passe donc un mercredi à bosser pour mes stages tranquilement. Jeudi, je passe une demie journée chez un dermato qui en plus d'être vraiment en retard me dit qu'il peut guère m'aider. En rentrant, je me dis que j'ai une sacrée piqûre de moustique sur le bras. Et puis une sur la jambe aussi. Installée derrière mon petit tup' de canneloni's tout beaux faits avec amour rien que pour moi par ma mère, je me rends compte qu'en fait ca fait quand même beaucoup de piqûres de moustique, et qu'en plus, ca commence à gratter assez fort. C'est là, enfin, que je me rends compte de ce qui se passe, je cours au miroir et ca se confirme, reaction allergique. J'en avais eu une pareille l'an passé, j'aurais dû m'en rendre compte plus tôt! Je cours au miroir, et en effet je suis couverte de plaques rouges gonflées. Cou-verte. Heureusement qu'il me reste ma tête sans plaques, mais c'est vraiment tout, la salopperie se répandait même dans mes oreilles! Alors je cours chez le medecin en me grattant et en sautillant, suivie du regard par des citoyens étonnés qui passaient par là. J'arrive au moment où il comptait fermer son cabinet -enfin un peu de chance-, il m'annonce d'une voix calme que c'est une reaction allergique au Staphycid, soit les antibiotiques que je prenais. Il me donne un joli Zyrtec (qui n'a fait son effet que 4h plus tard, grrrr) et une ordonnance pour le lendemain (parce que ouais, à 19h c'est fermé une pharmacie), en m'assurant que ca devrait partir, sans savoir me dire quand. Bon. Me voilà affublée d'une jolie réaction d'Urticaria. Quand ca a enfin arreté de gratter, je m'endors comme un bébé, un peu droguée par le Zyrtec. Le lendemain en me levant, tout a recommencé à zéro et vais vite vite à la pharmacie chercher une belle boîte pleine de Zyrtec. Arrivée en cours, je me rends compte que je fonctionne très slow-motion, que je n'entends pas bien et que ma vue se trouble. Ah. Et puis j'ai frôlé le sol deux fois aussi. (Dans les escaliers, évidemment). Bon, ca fait partie des effets secondaires. Donc, retour medecin, pour un mot pour l'école et pouvoir aller dormir. C'est sa partenaire cette fois, qui m'annonce qu'en fait, si je suis allergique au Staphycid, je suis allergique à toutes les penicillines, et que je ne peux plus jamais jamais en prendre parce que ca risque d'être encore pire la prochaine fois. Euh.. Ben rien à faire, on essayera de tomber un peu moins malade. Je dors tout le vendredi, et je me lève le samedi matin avec -si si aparemment c'était possible- encore plus de plaques, plus gonflées, plus douloureuses, les poignets et chevilles qui ont doublés de volume. Légère panique, la soeur viendra me chercher et on ira chez son beau frêre qui est medecin aussi, et il va voir ce qu'il peut faire. Le temps qu'elle arrive et qu'on arrive jusque là, j'atrappe des espèces de boules sous les pieds, j'ai une demie lèvre qui a gonflé à mort (oui , juste une demie) et je retourne dans le slow-motion. On me dit qu'une piqûre de cortisone serait la seule solution. Du Medrol. En entendant le nom de la piqûre en question j'ai bloqué une demie minute, tant de souvenirs.. Soit, une fois la piqûre faite et un nouveau anti allergique dans la bouche (puissance² du Zyrtec), je me sens relativement mieux. Je lui demande d'où ca venait, cette réaction, et bien il se fait que j'ai fait une allergie à un anti-allergique. Faut le faire quand même. Donc plus de penicilline et plus de Zyrtec pour moi! Depuis hier soir je suis fort crevée à cause des medocs plus forts, et j'ai un peu mal ma fesse gauche à cause de la piqûre, mais le reste va bien mieux. C'est pas trop tôt on va dire.. Bon, la semaine prochaine il faut retourner faire des prises de sang et compagnie, mais j'essaye de pas encore y penser.

J'ai toutes mes prépas de stage à rendre mardi, je ne vois pas trop comment faire ca, mais on verra bien, je me passerais bien du stress maintenant..

En attendant mes nouveaux coups de coeur:


# P. Six & GJP - Let me know
# K. - Waveshaper
# Miss Jane - Fine Day