Something Else

Looking down on empty streets and all she can see Are the dreams all made solid, The dreams made real All of the buildings, All of the cars Were once just a dream In somebody's head She pictures the broken glass She pictures the steam She pictures a soul...

lundi, février 25, 2008

Shine Bright, Lady Moonlight*

Nomade
Je ne sais où
Mais j’irai.
Peu importe le vent
La pluie et le tonnere
J’irai.
Dans chaque goutte
Chaque grain de sable
Je te trouverai.
Tête baissée
Mais poings levés
Au rythme des saisons
Des marées
J’irai.
Nomade!
Ma maison, à jamais
Sera la route.
Peu importe la peur
Peu importe les doutes.





There’s no need to argue anymore
I gave all I could
But it left me so sore
And the thing that makes me mad
Is the one thing that I had
I knew, I knew, I’d lose you
You’ll always be special to me
Special to me, to me..
And I remember all the
Things we once shared
Watching tv movies on
The living room armchair
But they say it will work out fine
Was it all a waste of time?
Cause I knew, I knew, I’d lose you
You’ll always be special to me

Special to me, to me..
Will I forget in time?
You said I was on your mind
There’s no need to argue
No need to argue anymore
There’s no need to argue anymore

Sometimes I do believe in..*


Hier j'ai eu une sacrée surprise, qui me fait encore sourire aujourd'hui à travers les courbatures. Aux environs de l'heure de midi, je flâne comme quasi chaque dimanche en peignoir en laissant couler mon bain, hésitant entre le bain mousse vanille ou le sel de bain lavande. Soudain, j'entends des voix et en regardant par la fenêtre je vois des amis à mes parents avec des chevaux. Oubliant le fait que je me trouve en peignoir je descends, l'attirance des chevaux est plus grande que l'amour propre esthétique. Je sors et là j'entends "On t'a emmené un cheval, tu viens avec nous?" Un peu stupéfaite (je venais de me lever aussi, hein) j'attends qu'ils insistent "allez va t'habiller et viens avec nous". Bon bon. On y va, on enfile un vieux jeans, des botinnes et un chapeau qui sera vite troqué contre une bombe sous l'oeil inquiet de maman, pas trop lancée dans l'aventure. Je découvre la selle américaine, nettement plus comfortable qu'une selle anglaise moyenne. Et puis les rennes, pas liées, ce qui me fut difficilement concevable au début mais je m'y suis vite habituée. Un amour de cheval, du soleil, la beauté de la nature de notre région, j'ai été vite emballée. Six ans que je n'avais plus ressenti le bonheur de ces muscles puissants sous moi, six ans que je n'avais plus senti ce mélange des odeurs du cuir bien traîté et du cheval, et ce fut un réel bonheur. Ca fait des années que ca me manque, que je rêvais de remonter à cheval, mais pas en manège. Et depuis hier, plus jamais en manège. Me connaissant j'aurais pu être un peu méfiante au début, mais il n'en a rien été, comme Michel disait: monter à cheval c'est comme rouler en vélo, ca s'oublie pas. Galopper à toute allure entre les arbres, dans les prés, malgré les griffes qui en ont laissé un souvenir sur mes mains, ca donne une telle impression de réelle liberté presqu'enivrante. Sauter des petites rivières et des troncs d'arbres, se retrouver au milieu de la semois pour faire boire les chevaux, sentir leur joie quand on les laisse partir à toute allure... On a vu des chevreuils, des cerfs, des biches, des pattes de blaireaux... A refaire très certainement, puisque c'est "Quand je veux" puisque je semble être "une bonne cavalière". Ce souvenir là, on ne me le prendra pas. Même si six heures de cheval après une absence six ans ne pardonne pas.. Aujourd'hui c'est aie-ouille-aie, tout muscle que je possède me fait un mal d'enfer, mais ca ne fait rien. De toute façon, ce soir je vais au sport et les courbatures s'éffaceront vite quand j'aurai courru quelques kilomètres^^. D'ici là je me plonge dans les passionantes théories artistiques de Hume et peut être un peu de Kant avant d'aller manger les pâtes du lundi avec Tessa que vous pouvez admirer sur la photo, en espérant qu'un miracle répare mon pneu d'ici là. Je peux pas continuer à prendre le vélo de la femme de ménage encore une semaine... Et tantôt, on fera un tour à la fête qui encombre la place Saint Pierre et ce pour trois semaines encore, et qui est immense.

Sinon, pour le plaisir de vos petites oreilles je vous conseille l'intégralité de l'album A beautiful lie de 30 seconds to mars. Ne ratez pas les clips non plus, parce que Jared Leto, bien qu'il ait le défaut non négligable de tendre vers les idoles emo d'adolescentes prépubères, est quand même magnifique.

La semaine dernière nous a fait comprendre que nous sommes des moviejunkies. Mais peu de bonnes choses. On a voulu se tapper la filmographie entière de Jared, ca devenait même freaky à la fin. Mais il faut avouer qu'après Chapter 27, où il dépasse les 100kg, on a été un peu calmées.

# Chapter 27: L'histoire du meurtre de John Lennon, thriller psychologique, pas choquant mais il met mal à l'aise. C'est Mark Chapman (Jared) qui raconte son histoire et les moments où il sombre dans sa schizophrénie sont assez inquiétants. Sinon le film est assez lent et dépourvu d'action.

# Lord of War: Génial, comme d'habitude, on vous le présente plus! Avec un Nicolas Cage quand même fin bon.

# Highway: Film hilarant. Pas connu pour un sou, mais la mention "Jared Leto" nous l'a fait prendre puisqu'à force de louer des dvd on en a un stock à embarquer gratuitement. Le vieux petit monde rock drogue avec un fan déjanté de Kurt Cobain, des histoires de cul mal placées avec la femme du boss et on en passe. Rires assurés. (celui là on l'a vu 3x)

# Sweeney Todd: Au cinéma, dans la magie du son un peu trop fort et l'image géante. Coup de gueule sur les prix du cinéma mais film pas mal. Un peu beaucoup de sang qui jaillit de partout mais agréable. Johnny Depp sait d'ailleurs très bien chanter, et l'épouse de Tim Burton aussi. Détail énervant: je commence à deviner les "fins inattendues" des films vers la moitié de ceux-ci, et je ne peux pas m'empêcher d'en informer les autres. Ils apprécient guère^^.

# My hous in umbria: Ca va. Là aussi j'ai un peu trop vite déviné la fin, mais soit. Un peu long à certains moments.

# Shakespeare in love: mignon, mielleux, pas mal d'action, on aime.

# Lonely Hearts: Marrant, c'est plein de violence choquante qui nous a plus fait rire qu'autre chose. Notre Jared incarnait un Playboy qui profitait des personnes seules, et avec sa femme ils en tuent pas mal pour l'argent et par la jalousie de cette dernière. "Bitch won't die!"

J'en oublie 2-3, tant pis.

jeudi, février 14, 2008

Crappy Valentine's Day!*

Deux jours (parfois deux minutes) vous changent quelqu'un. Bon il faut voir les circonstances aussi, le soleil a disparu, à la place il gèle de nouveau. (j'avais oublié que l'on est encore au mois de février, je croyais, fervente, à l'arrivée du printemps) A côté de ca, j'ai un souci psychologique profond avec les 14, et encore plus avec leur association amoureuse au mois de fevrier. De plus, depuis hier toute mauvaise nouvelle s'enchaîne dans un rythme infernal, et le smoking gun devrait pas tarder. Pour entrer au culture club, il faut réserver online et imprimer sa réservation, moi j'avais réservé lundi mais n'étant pas ici j'ai pas pu imprimer, et quand j'ai voulu le faire hier j'ai vu la petite mention 'soldout' au lieu de nos places. Fuck it! Râles profonds, pour oublier on se rue sur le free record shop et on achète 12 dvds au total (à 5), on en regarde 4 chez moi, quasi tous exécrables (bon, on a apprécié l'innocente blancheur de Johnny Depp dans Sleepy Hollow) Puis quand elles sont parties vers 2h, je me suis rendue compte que le 'petit chapitre d'architecture' faisait 50 bonnes grosses pages écrites en caractères minuscules, ce qui m'a vite fait abandonner. Reveil à 9h, grognements habituels, cafécafécafé, douche sans pression, cris d'hystérie profonds, attaque violente du premier mur venu, habillage, course course course pour arriver pas trop en retard, pour finalement commencer le cours avec une heure de retard parce que l'ordi du prof marchait pas! Fuck it! Je me traîne à travers ce cours en détectant avec Pauline les ingénieurs architectes assez facilement repérables, puis on mange un truc (crâmé) et on va au SMAK pour l'expo de Mc Carthy. Crap! Jamais vu un aussi grand désastre 'artistique'. Des bites, du sang et des scies et du ketchup. J'pense que je suis passée à côté du sens profond proclamé par les guides qu'on a regardé à gauche et à droite mener des groupes d'étudiants uniformés. Ce qu'on a retenu de l'expo? Que Mc Carthy souffre profondément de l'un ou l'autre syndrôme Freudien. Et qu'il est malade. Puis les petits coeurs partout ca me fait penser à Toi, et après la récente évocation des injustices qui t'entourent, ca ne fait que renforcer mon envie de jetter des pots de fleurs à la gueule des gens, vraiment. Anyway, life goes on. Et ici, très précisément, ca veut dire que je vais faire ma vaiselle, regarder un ptit film, peut être dormir un peu, et éventuellement bouger mes fesses pour aller manger avec les filles et faire un tour au Charlatan afin d'oublier tout ce que j'ai cité plus haut. Ou alors se tapper un ptit ciné ou râler collectivement dans le divan.

# 30 seconds to mars - From Yesterday
# Lenny Kravitz - Again

# No, I won't call you.

mardi, février 12, 2008

Love that Stuff*


Soleil soleil! Retrouvailles gantoises, reprise des cours, terrasses, sortir dehors sans attirail hivernal, flâner dans les rues commercantes, s'ôser à manger un sorbet framboise à la mi-fevrier, entendre les sonneries du marchand de glace dans la rue, sortir les chaussures légères, retrouver de la motivation et toute ma joie d'être ici. Même un bouquin d'architecture n'est pas si terrible quand on le lit au bord de l'eau dans l'herbe, avec un petit cocktail improvisé et quelques djembéistes et guitaristes en arrière plan! Hier soir, retrouvailles avec Tessa, au lieu d'aller au sport (histoire de pas détruire entièrement les restes de ma cheville) on a flâné des heures dans les rues, il faisait bon et tout était fermé mais c'était chouette. Et puis aujourd'hui, cours d'esthétique (filosophie artistique) et puis mes petites courses, ensuite direction medecin pour regarder à cette vilaine cheville qu'il ne faudra tout compte fait pas (encore) amputer, mais suivre de près. Après ça, découverte de petites rues commercantes sympathiques et bien cachées, acquisition du premier vêtement satiné qui m'ait jamais sied, petits bijoux en tous genres, râles sur la saint-valentin qui nous nargue de partout, et pour finir on s'est offert des bijoux assez sympas pour célebrer notre bon sens (et notre solitude groupée). Pas moins de six vidéothèques parcourrues pour un film finalement pas si terrible (virgin suicides) regardé en dégustant une délicieuse fondue au chocolat (callebaut, c'est la vie). Cadeaux d'anniversaire inattendus, oui-non-oui-non pour les accompagner boire un verre avec les autres, non l'emporte à moins que je reçoive un coup de fil signalant des présences particulières. Je suis fatiguée. Demain debout d'heure raisonnable, en espérant la présence du soleil pour déguster l'architecture gothique du moyen âge dans un transat dans le jardin, et puis après une petite introduction à l'antropologie, recherche de fringues pour (padam padaaaam) une nouvelle petite soirée au culture club jeudi! Même si elle sera sous le signe de la saint-valentin, we don't care. Et puis demain soir découverte de Sweeney Todd dans le comfort du kinepolis. Et puis vendredi souper des anciens, plaisir d'en revoir certains, un peu moins pour d'autres et incertitude pour quelques-uns. Et ensuite, jusqu'au bout de la nuit. Samedi reprise probable du piano, revoir 'mes' petits baladins que j'ai adorés en un coup d'oeil, et puis soirée à la maison (c'est moi que je vends les hot-dogs, attention!). Weekend de fête clôturé par mon retour à Gand dimanche soir, et une nouvelle semaine tout aussi chargée qui commence... Mes envies sont nombreuses et motivées, et quitte à être instable, incertaine, incompréhensible et insensée, quand tout va bien et qu'il y a du soleil, la vie est magnifique.


# Pink - U + Ur hand
# Je voudrais un senseo!
# Victor Hugo - Les misérables ( toujours, encore, jamais assez )
# Sorbet Framboise
# MY friends :)
# Le refrain de 'These boots are made for walking', à tue-tête
# Ta petite tête qui n'bougera jamais de là!
# Mon geranium (?) qui a survécu à mon abandon



[X]

jeudi, février 07, 2008

Disappointed..*

Oui je suis déçue. D'un peu tout et tout le monde, moi même en premier. Il m'a été dit des années durant de me défaire de toute carapace, de toutes ces méfiances soi-disant inutiles. J'ai eu beaucoup de mal pour y arriver, assomée de doutes à tout va, mais j'y suis arrivée. Et maintenant je semble en payer le prix: déçue, naïve, arrachée à toute confiance en moi même ou en les autres, et je n'ai jamais douté aussi fort de toute mon existence qu'aujourd'hui. Je suis haute de 174cm, et j'ai l'impression d'en mesurer 1,74 à tout casser. Je tremble depuis ce matin, je me retiens d'exploser en larmes comme je ne le fais pas assez. Je m'étais promise que ca n'arriverait plus jamais sans certitude, qu'aucune goutte de mon âme ne s'enfuirait par mes yeux pour ca. Quand on n'a confiance en rien, on n'a peut être pas tout le bonheur qu'on puisse vouloir, mais quand on fait confiance on donne en mains propres tout l'armement nécéssaire pour être détruit. Je ne devrais sans doute pas le voir comme ca, et je suis moi-même étonnée de ma réaction, mais j'ai deux défauts occasionnels qui me sautent à la figure à chaque fois que je mets un peu d'espoir dans quelque chose, que ce soit humain ou matériel : je suis naïve et jamais assez sûre. Et si j'ai mille raisons pour me détester, ces deux là sont les pires. Quand je veux croire en quelque chose et que ca va mal, je pourrais inventer n'importe quoi pour que ca reste plausible à mes propres yeux et quand tout va bien je trouverai toujours quelque chose à remettre en question. Je stresse pour mes résultats qui s'annoncent vraiment très nuls, je me demande pourquoi j'ai voulu à tout prix aller à l'autre bout du pays si c'était pour tout y rater et en cadeau j'ai une cheville surinfectée. Mais je suppose que ca arrive à tout le monde d'avoir une journée aussi horrible et pathétique, et en fin de compte on arrive encore à vous faire croire que c'est de votre faute. Vraiment, il y a des jours où l'on ferait mieux de pas se lever.

lundi, février 04, 2008

Ca fait mal, même si...*


Il ne faut retenir que ce qu'il y a d'inoubliable. On passe notre vie à faire des photos, à immortaliser ce qu'on a vu, ce qu'on a fait, ce qu'on était. Mais les vrais souvenirs, les vraies images importantes, on n'a pas besoin de les immortaliser pour s'en souvenir. Je tremble un peu, je repense à tous ces moments qui sont inoubliables pour moi. Je n'arrive pas à dormir, je sais que quand je fermerai les yeux, ces moments reviendront me perdre dans ma nuit.


Je m'en vais achever ma nuit avec Les misérables et Ludovico Einaudi, et puis dormir un peu sans doute. Sans oublier. Et en remerciant Pierre de Ronsard.
Vivez, si m'en croyez, n'attendez à demain :
Cueillez dès aujourd'hui les roses de la vie

dimanche, février 03, 2008

Impression soleil absent*


C'est fini. J'ai répété ce mot jusqu'à en oublier le sens. Je baigne dans l'horror vacui, je devrais paraît-il me sentir légère, soulagée, heureuse et tout et tout mais en fait c'est pas vraiment ca. Je sais pas ce que c'est. Comme si l'orage se retenait d'éclater au dessus de ma tête. Ca aurait pu attendre samedi prochain, mais non. Alors j'essaye de me distraire de moi-même, j'ai l'impression de vivre dans un nuage moyennement épais, planant au dessus d'une ville, toute seule et un rien absente, mais relativement tranquile. 1 mois d'isolement, 2 mois d'activités cérébrales démesurées, ca m'a rendue vulnerable. Ca m'a beaucoup appris aussi, mais souvent sous forme hypothétique. J'ai besoin de dire ce que je pense, quand je le pense, même si je reste fidèle à mon statut de girouette qui change comme le vent. Oui non peut être. Tout est relatif, forcément on fait rarement de choix 'à vie', mais un peu de stabilité serait la bienvenue. J'ai l'impression d'avoir pris 20 ans par moments c'est fou et ca ne me plaît pas. Vendredi 15h, sentiment d'hystérie joyeuse, méga vaiselle, nettoyage d'à peu près chaque cm² de mon kot, puis fourrage de linge et de tupperwares dans un sac, oubli de mon geranium qui va me bouder à mon retour à mon avis, et puis direction soeurette. Soirée tranquile, film interessant, petite nuit, debout tôt et en route vers la maison. Retrouvailles charmantes, petites surprises pour fêter mon anniversaire que j'avais déjà oublié, promenade de 4h qui m'a bousillée mes chevilles toutes ouvertes (et douloureuses), apéro, 30 min de mamy au téléphone, des gens qui arrivent en 3-4 fois chouette souper et puis je me dis 'que j'irais bien' -alors que j'avais dit que non, non non!- et puis quand même. C'était chouette. Puis je suis rentrée tellement silencieusement - pour une fois - que mes parents se sont levés à 5h30 pour venir voir si j'étais déjà rentrée, et moi je dormais tranquilement. ( Faut dire qu'au nouvel an, avec les mêmes talons, j'avais vraiment eu du mal ) levée à 9h30 déjeuné un ptit peu avec la conclusion (assez répétitive pour une conclusion) que maintenant ca suffisait vraiment. Je me détruis. Ca fonctionne pas, et même si ca se voit pas, c'est là et je dois m'en occuper. Plus facile à dire qu'à faire, surtout quand je rentre chez moi dans des odeurs de speculoos et de purée et une bouteille de champagne au frais. Il va falloir que je trouve une façon ou une autre d'y penser continuellement et d'appliquer, même si bon, c'est plus la peine de manger si c'est dépourvu de fruits, legumes, épices, graisses et me passer de caféine ca va être une réelle cure de desintoxication. Mais tant pis. Aujourd'hui journée au lit avec la saison 1 de friends, ca me rend de bonne humeur, ca demande pas d'effort intellectuel et puis j'aime bien. Ca serait encore mieux si j'étais dans un bain super chaud ou sous de l'eau chaude à mourir qui continue à couler pendant des heures. Ce matin j'y ai passé plus d'une heure. Ca fait tellement de bien. Sinon je dois penser à prendre tous mes rendez-vous médicaux. Je repousse ca avec beaucoup de conviction, j'ai vraiment pas envie. Mais bon hier je me suis retrouvée un peu hystérique quand j'ai lâché mon speculoos dans mon café sans raison ( ce qui a bousillé mon pull blanc par la même occasion) et bon il faut réagir quand même. C'est pas normal tout ca. Sur ca je vais tenter d'avaler quelque chose de sympa pour mes intestins, et puis achever mes derniers petits épisodes de friends et puis dormir je suppose. Même si je suis pas vraiment fatiguée, juste un peu vide.
Photo: Ma Christouil que je retrouve très bientôt qui regarde les vagues portugaises..
Musique: Cypress Hill - Superstar (c'est de mauvais goût mais ca traine dans ma tête depuis que j'ai revu notre 'pimp my bike'
Allez juste pour le plaisir: